Le « Tombeau pour Sylvie », partie d'une suite en sol majeur pour viole de gambe seule créée à l’Eglise du Tréport le 13 juillet 2008, et enregistrée en juin 2009 à l’église protestante de Solinger-Wald (Allemagne). Peter Lamprecht. « Les Heures Musicales » . Pour l'écouter (en AIFF ou en MP3), avec l'aimable autorisation de Peter Lambrecht, cliquer sur le lien. Attention ! En AIFF, de meilleure qualité sonore, le téléchargement est assez lent de l'ordre de la minute.

Avec une biographie de Sylvie, une biographie d'Edelmann et de nombreux extraits de ses sonates, des duos mandoline et clavecin, etc.

« Le meilleur hommage à Sylvie est de laisser parler ses doigts sur le clavier du clavecin où elle interprète les dernières notes d'Edelmann, le compositeur qu'elle nous a fait découvrir avec toute sa fougue et ae passion de la musique » Abbé Laurens.

Dans le libre Journal des Musiciens, « La Caressante » d'Edelmann.

Concert Joseph Boullonge de Saint-George dédié à Sylvie Pécot-Douatte avec Iakovos Pappas (clavecin), Anne Claude Villars (violon), Odile Rhino (soprano), Mylène Alexis-Garel (clavecin).

Sylvie nous a quittés le 10 janvier dernier après des années de combat contre la maladie. Elle était l'amie de tous les passionnés de Saint-George et aussi une infatigable archéologue de la musique. Sous sa plume et ses doigts, des musiciens que l'histoire avait oubliés ont ainsi pu trouver une nouvelle vie : Jean-Frédéric Edelmann auquel elle avait consacré trois disques et un livre, Jean-François Tapray, les maîtres napolitains de la mandoline (avec Christian Schneider), Hélène de Montgeroult qui aurait dû être sa prochaine « redécouverte » etc.

Avec passion, elle nous avait accompagnés dans le travail de redécouverte de Saint-George. Nous lui devons la création (au XXème siècle) d'une sonate en 2000 lors du salon de la Musique avec Ruggero Capranicco, le jour où Alain Guédé reçut le prix « Découverte des Muses » pour son livre « Monsieur de Saint-George », ainsi que des dizaines de concerts consacrés au compositeur à la peau noire. Elle participa à un autre grand moment : les concerts organisés dans la rue du Chevalier de Saint-George pour l'inauguration de cette rue par le maire de Paris.

Cette musicienne très douée se voulait aussi au service des autres. Elle a souvent joué le rôle de « grande sœur » - en dépit de son jeune age - vis à vis d'autres artistes qu'elle aidait et conseillait en tant que musicologue qui connaissait parfaitement le XVIIIème siècle. Que de fois, elle a ainsi prêté ses instruments à des musiciens !

A la mémoire de Sylvie Pécot-Douatte, « Autour d’Hélène de Montgeroult » avec Céleste-Marie Roy (basson), Anne Robert (piano), Anne-Charlotte Rémond, présentatrice.

Hommage à Sylvie par J-P. Tardif, discussion sur le livre consacré à Edelmann et extraits de ses sonates.

Hommage à Sylvie par J-P. Tardif, discussion sur la période révolutionnaire et la vie d'Edelmann, extraits de ses sonates.

Un Hommage à Sylvie Pécot-Douatte, avec ses amis musiciens, Jean-Louis Charbonnier (viole de gambe), Christian Schneider (mandoline) et Marina Mori (clavecin), Mauricio Romero (contrebasse), Jean-Patrice Brosse (clavecin), Jean-Pierre Menuge (flûte et direction de l’orchestre), et le Madrigal, chœur de chambre de Compiègne (direction Daniel Delaunay). CD enregistré par Igor Kirkwood.

Un hommage à Sylvie, c’est aussi un hymne à la force, à la plénitude fragile, à la beauté de l’âme, aux colères dorées, aux rires cascadeurs… à la vie. Petite sœur.

Un après-midi avec Sylvie Pécot-Douatte, en compagnie de ses amis musiciens, avec Hervé Derrien, Charles Limouse, Gabriel Richard et la comédienne Valérie Delbore en hommage à Sylvie.

« Ariane et Bacchus ou les Passions Baroques », Orfeo 2000, enregistrement HMBV2 2007 par Jaap SCHRÖDER, violon baroque.